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Nous
partîmes 14 et par un prompt vent fort,
nous
retrouvâmes 18 en arrivant au port.
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En
effet, un groupe de 4 dissidents avait passé
la nuit sur le plateau, espérant y voir un dahu
égaré ou un mouflon bavard.
Donc
18, nous fûmes au départ, frigorifiés
par le petit 6° annoncé par Marc. |
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La
montée vers le col de l’Ayrole fut si rapide
qu’ il ne subsiste que cette image fugace du Caroux
s’éveillant.
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La
descente s’amorça sans que les chataîgniers
ne s’émeuvent outre mesure de notre passage.
Quand le hameau d’Héric nous apparut, ce
fut le ravissement général.
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Nous
le quittâmes avec regret, certains auraient bien
voulu s’attabler, mais le Vialais nous attendait.
Nous
suivîmes un adorable petit sentier. La vie était
belle ! (n’est ce pas René ? ).
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Le
Fourcat d’Héric nous jeta un coup d’œil
hautain.
Un peu plus loin en remontant le Vialais, la brèche
de Mascar que certains voudraient bien aller voir de
plus près, se laissa admirer, mais de loin.
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Notre
guide du jour avait délégué à
son suppléant le soin d’ouvrir la route.
L’heure
des agapes approchait, ce qui incitait à une
recherche tous azimuts.
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Sur
le si romantique pont du Vialais
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nos
deux guides dansèrent, mais ne plongèrent
pas. |
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Après
le passage du col de l’Ourtigas, nous retrouvâmes
le plateau et cheminâmes sur sa longue et lancinante
lande balayée d’un vent violent ...
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...où
deux des nôtres tentèrent de décoller
pour un voyage sans retour. |
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Le
retour eut bien lieu pour tous à Douch où
notre guide suppléant s’esquiva sans demander
son dû.
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