Les
4000 marches à deux vitesses
6
& 7 novembre 2010
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Pleuvra, pleuvra pas ?
Malgré
cette menace, nous nous retrouvons au complet au gîte
de la Coconnière à Valleraugue.
Les uns font cuire les pâtes, les autres surveillent
les grillades.
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Nous avons également des châtaignes. Elisabeth
et Denise font d’excellentes pâtes «al
dente»
La soirée restera inoubliable, comme à chaque
fois.
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Dimanche.
Le réveil sonne à 6 h 30 et personne ne râle.
A
7 h 45, nous retrouvons Georgy venu de Montpellier ce matin,
et à 8h pile, on démarre la rando.
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Départ
en douceur jusqu’à l’Estivel. La pluie
tombe. Le ciel gris n’annonce rien de bon.
Certains
rebroussent chemin, dommage car l’après midi,
il n’a pas plu.
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Au
pied de l’observatoire, le repas s’avale de travers
; debout, en plein vent et expéditif.
Nous ne sommes pas en avance. On ne finira même pas
l’unique bouteille de Pic St Loup !
Le groupe de Gilles prend la direction d’Aire de Côte,
puis redescendra sur Valleraugue par le hameau de Berthézène.
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Serge
nous raconte : descente tranquille entre vent glacial et soleil.
On prend malgré tout le temps de ramasser quelques
châtaignes pour la soupe. La boucle se termine vers
16h15 autour d’un bon chocolat chaud avant d’abandonner
Gilles à l’interminable attente de l’autre
groupe cause de covoiturage. |
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Le
groupe de JMJ monte à l’observatoire. Au sommet,
le vent du nord souffle très fort.
Nous
suivons le GR : Prat Peyrot, La Serreyrède, l’Espérou.
Les pauses sont courtes, la plus longue se fera au village
de l’Espérou : 8 minutes. |
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La
pauvre Edith court, mais elle n’a pas le choix si nous
voulons rentrer avant la nuit !
Nous avons parcouru 20 km, il en reste 14. Nous allongeons
le pas. Bon, Edith, dépêche toi un peu !
Vers 16 h 30 nous arrivons enfin au Monument André
Chanson. Dernières recommandations avant la longue
descente ; les muscles sont fatigués ; prudence !!
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Nous
arrivons à Valleraugue à 18 h. Il était
temps, nous étions à deux doigts d’allumer
les frontales.
Nous
énumérons nos bobos, mais tout le monde est
content. Nous retrouvons Gilles avec plaisir, mais ce soir,
pas de chocolat chaud : nous rêvons tous d’un
bon lit, et il y a encore la route à faire. On remettra
ça, c’est certain ! Et bravo à tous
car ce n’était pas gagné d’avance…
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Jean-Marc
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